Mercredi, 21 octobre 2020 14:41 |
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Le directeur exécutif du Centre d’analyse et de recherches en droit de l’homme (CARDH), Gédéon Jean dit constater un léger revirement dans la position du BINUH, dans sa note publiée le 20 octobre. Intervenant ce mercredi pendant le journal du matin de Radio Télé Métropole, il a noté que le Bureau Intégré des Nations Unies en Haïti, reconnait désormais la responsabilité de l’état dans le développement de l’insécurité. « Le BINUH évoque le concept de crime international dans le cas d’Haïti. Ce qui rend possible une action devant la cour interaméricaine des droits de l’homme ou d’autres instances au cas où les autorités n’assumeraient pas leur responsabilité dans ce domaine. » Il est du devoir et de la responsabilité, des chefs d’état et de gouvernement de favoriser le respect des droits humains. Les dirigeants haïtiens ne peuvent plus faire la sourde oreille, insiste Gédéon Jean du CARDH. AL / radio Métropole Haïti http://www.metropolehaiti.com/metropole/full_une_fr.php?id=34004
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